Une pensée unique ; une solution unique ; un seul traitement admissible qui ne peut être que le vaccin et si on voulait décourager le développement de tous traitements alternatifs on ne s’y prendrait pas autrement.

Alors que les discours gouvernementaux ne cessent de se durcir en Italie, en Autriche, en France, en Suisse et ailleurs, l’évolution de la pandémie nous en apprend tous les jours. Le « consensus» évolue même au sein des arcanes de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). Le scandale de « The Lancet », en mai dernier – la prestigieuse revue médicale qui a publié une étude fallacieuse sur l’utilisation de l’hydroxychloroquine – ou encore le régime Macron qui clamait un temps que les masques ne servaient à rien avant de les imposer invitent à la prudence et à la nuance.
Il n’existe point de vérité absolue. Hors, la fuite en avant actuelle pour le tout vaccin… 1ère, 2ème et 3ème doses comprises
– en attendant la 4ème – interpelle. Il ne s’agit pas ici d’être pour ou d’être contre. Seulement d’observer un monde devenu orwellien. Qui il y a peu n’était possible que dans la fiction. On ajoute de la nouveauté à la nouveauté, du risque au risque, à un rythme d’enfer. C’est à ce stade que les Facebook, Youtube, Google et autres réseaux sociaux suppriment tout contenu contraire au consensus de l’OMS et des autorités locales. Jusqu’à supprimer des contenus licites. Ils confondent leurs rôles d’hébergeurs avec celui de juge voire de moraliste. Les partenariats existent bel et bien entre ces plateformes, l’OMS et avec les laboratoires pharmaceutiques. On pense notamment à Alphabet (Google) qui a un partenariat avec le laboratoire américain Pfizer. Pour ne mentionner que cet exemple. Quant aux médias mainstream, ils suivent la cadence de la doxa et de la pensée unique. En Suisse comme en France ils sont éligibles aux subventions publiques. Dans l’Hexagone, on parle de 1,2 milliards d’euros. En Suisse, tout dépendra de l’issue de la votation du 28 novembre.
La source de la démocratie est le débat.
Pour Maître Arnaud Dimeglio, enregistré au barreau de Montpellier : « La Cour européenne des droits de l’homme encourage les informations minoritaires. Elle les estime primordiales pour le débat public. Tout en observant prudence et mise en perspective ». A suivre…