Chers Clients, Chers Partenaires et chers lecteurs,
En premier lieu, nous vous souhaitons de bonnes fêtes de Pâques… même si celles-ci seront confinées.
Depuis deux jours, les marchés boursiers reprennent des couleurs. Ils ignorent ou ils ont déjà anticipé l’état d’alerte décrété au Japon, dimanche dernier. L’archipel nippon craignant une seconde vague de contaminations.
Même la très récente admission aux soins intensifs du Premier ministre britannique Boris Johnson semble passer inaperçu. Après trois semaines de confinement et un printemps à la météo radieuse, on n’a plus envie de mauvaises nouvelles. Dans tous les cas, les médias – au comportement assez grégaires – après la panique, ne vont pas tarder à nous asséner de bonnes nouvelles. Les milieux économiques pressant pour un retour à une situation acceptable voire normale, dans les plus brefs délais. La semaine prochaine, nous évoquerons les plans de « déconfinement. » L’Italie étant, l’indicateur avancé, en Europe.
Pour autant, nous sommes d’avis qu’il est préférable d’accepter une semaine supplémentaire de très forte vigilance que de courir le risque d’une deuxième vague de contaminations qui frapperait durement un système médical… très fatigué !
Cette semaine, nous accueillons Bernard Antoine Rouffaer, éditeur vaudois, auteur et politique qui partage son analyse pertinente pour la suite de l’année. Nous l’en remercions. La position qui suit n’engage que son auteur.